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20/12/2025
Actua

Actualisation des mesures socio-juridiques 2025/2026 : que devez-vous savoir en tant qu'employeur ?

L'année 2025 touche à sa fin, ce qui signifie qu'en tant qu'entrepreneur de PME, vous êtes à nouveau confronté à une série d'échéances sociales et fiscales. Dans le même temps, 2026 se profile à l'horizon, une année au cours de laquelle diverses réformes et nouvelles règles entreront en vigueur. Des vacances aux chèques-repas, des pistes d'atterrissage à l'indice du centime : il est temps de faire le point.

Fin de l'année 2025 : vérification des droits restants des salariés

Le 31 décembre, les salariés doivent avoir épuisé leurs congés légaux, leurs jours fériés et leurs jours de repos de rattrapage. Si des jours restent impayés, cela peut entraîner des frais financiers supplémentaires, voire des sanctions. La vérification en temps utile des soldes impayés n'est donc pas un luxe, mais un élément obligatoire de votre administration de fin d'année.

Conseil : utilisez votre système de saisie des temps ou de paie pour obtenir un aperçu rapide des employés qui ont encore des soldes de congés.

Les chèques-repas deviendront plus chers (et plus attractifs) à partir de 2026

A partir du 1er janvier 2026, la part maximale de l'employeur pour les chèques-repas passe de 6,91 € à 8,91 €. La valeur nominale totale d'un chèque pourra ainsi atteindre 10 euros, sans cotisations sociales supplémentaires. Il y aura également une dérogation permettant d'accorder 2 euros supplémentaires à ce plafond en 2026, sans impact négatif sur la norme salariale. Cette norme salariale continue de s'appliquer à d'autres composantes salariales.

Il convient de noter que l'ajustement fiscal n'a pas encore été effectué, mais que la même limite de 8,91 euros est attendue.

Pour les chefs d'entreprise, les chèques-repas ne doivent jamais dépasser ceux de leurs employés.

Il n'y a pas d'obligation automatique d'augmenter la valeur. Vous en décidez vous-même, à moins que des accords sectoriels n'en décident autrement. Il est donc préférable de mentionner que toute augmentation est provisoire, dans l'attente de lignes directrices sectorielles.

Seuls ceux qui allouent effectivement la totalité du montant supplémentaire bénéficieront d'une déductibilité accrue pouvant atteindre 4 euros.

Des conditions plus strictes pour les pistes d'atterrissage en 2026

Les emplois de débarquement - où les salariés âgés réduisent leur volume de travail et bénéficient éventuellement d'avantages - seront plus strictement réglementés à partir de 2026. Les principaux changements :

  • Limites d'âge uniformes : système général à partir de 60 ans - systèmes spéciaux (professions lourdes, carrières longues, situations de restructuration) à partir de 55 ans
  • Conditions de carrière accrues : le nombre d'années de travail requises augmente progressivement à partir de 2026 pour atteindre 35 ans (hommes) et 30 ans (femmes) en 2030.
  • Plus d'accessibilité pour les emplois de débarquement 1/5 : les personnes travaillant à temps plein moins de cinq jours par semaine sont également éligibles sous réserve d'une convention collective ou d'un accord individuel.

Activation des malades de longue durée : cotisations supplémentaires pour les employeurs

Le gouvernement fédéral veut réactiver plus rapidement les malades de longue durée. Pour les employeurs employant au moins 50 salariés en moyenne, cela signifie qu'à partir de 2026, ils devront payer une contribution de solidarité sur les prestations de maladie pendant les deuxième et troisième mois d'incapacité de travail. La contribution est de 30 %.

Le plan prévoit une nouvelle extension de ce régime : à partir de 2027, la contribution sera également due pour les quatrième et cinquième mois. Détails concrets à suivre. Une exception s'applique aux entreprises sur mesure pour les employés du groupe cible.

L'indice du centime : une indexation limitée pour les salaires plus élevés

En 2026 et 2028, l'indice dit "cent" sera introduit. Pour les salaires bruts supérieurs à 4.000 euros, la partie supérieure à cette limite n'est plus indexée en pourcentage ; seul le montant jusqu'à 4.000 euros reste soumis à l'indice traditionnel. Par conséquent, les salaires les plus élevés n'augmentent pas plus vite que les salaires les plus bas.

La méthode de calcul exacte - un montant global unique ou des variantes sectorielles - reste à définir. L'entrée en vigueur immédiate de l'indice penny en janvier 2026 dépend du calendrier de la législation.

La norme salariale reste à 0 % : une budgétisation stricte reste nécessaire

Pour 2025-2026, la marge maximale pour les augmentations salariales reste à 0 %. Seules les indexations et les augmentations baremiques sont autorisées. L'augmentation de la contribution aux chèques-repas est l'un des rares moyens autorisés pour donner aux travailleurs un pouvoir d'achat supplémentaire.

Réforme des pensions : des options plus larges, mais des conditions plus strictes

La réforme permet la retraite anticipée à 60 ans pour ceux qui peuvent justifier d'une carrière de 42 ans. Dans le même temps, les règles existantes sont renforcées, notamment par le biais de seuils de carrière annuels plus élevés. Report du malus de pension jusqu'en 2027 pour les travailleurs ayant effectué une carrière longue ou partiellement à mi-temps.

Le budget mobilité devient une alternative obligatoire

A partir du 1er janvier 2026, tout employeur proposant des voitures de société devra fournir un budget de mobilité comme alternative complète. Les salariés ont ainsi plus de liberté pour choisir des options de mobilité durable ou un logement plus proche de leur lieu de travail. La législation définitive est encore en cours d'élaboration, mais il serait bon que vous examiniez votre politique de mobilité en temps utile.

 

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